« Ingénieur en agriculture, j’ai travaillé pendant 20 ans dans une entreprise de commercialisation de semences. Puis j’ai dirigé des entreprises de négoce Agricole, jusqu’à mon départ en retraite. L’une d’entre elle, Vegam (35) en 2003/2015, était une filiale de la coopérative Laitière Coralis, marque Agrilait. C’est dans ce contexte que j’ai connu Bleu-Blanc-Cœur.
Durant toutes ces années, j’ai intégré le Conseil Administratif et le bureau de Bleu-Blanc-Cœur« .
« Pour moi, le point essentiel de la démarche Bleu-Blanc-Cœur est sa certification d’obligation de résultats, et non pas que de moyens comme beaucoup d’autres démarches. Un autre point important est le fait que tous les acteurs de la filière soient dans l’association, du producteur au consommateur, sans oublier les scientifiques. En effet, cela apporte une crédibilité à la démarche. »
Pourquoi avez-vous rejoint la démarche et décidé de contribuer à ce mouvement citoyen ?
« En retraite depuis un an, je souhaite mettre mon expérience au service de Bleu-Blanc-Cœur, car je garde de mes années professionnelles, de très beaux souvenirs et une richesse dans les échanges humains. Merci à Pierre, à Jean-Pierre, à Nathalie… »
Pourquoi consommez-vous des produits Bleu-Blanc-Cœur ?
« Ayant depuis des années un taux de cholestérol très élevé, j’ai découvert la Linette. J’en consomme une cuillère à café tous les matins et mon taux de cholestérol a considérablement baissé à la grande surprise de mon médecin. »
Croyez-vous à l’impact des choix de consommation sur l’avenir de l’agriculture ?
« Bien sûr, le consommateur sera de plus en plus exigeant sur ses choix alimentaires, mais peu d’entre eux connaissent véritablement la réalité des certifications auxquelles ils se fient. C’est certainement un des très grands objectifs sur lequel nous devons continuer à travailler ».